Sud-Kivu/JUIK sur la crise politique : « Chacun devra répondre de ses actes»

La Structure Jeunes Unis pour les Intérêts du Kivu(JUIK) condamne des accusations infondées en la personne de Bahati Lukwebo,par un groupe des personnes usant la haine et la xénophobie pour diaboliser président du sénat.Ce mouvement citoyen appelle les forces vives sociales et politiques à s’unir pour la paix et la stabilité du Sud-Kiv

Au cours d’un point de presse,tenu ce dimanche 2 Janvier 2022 en ville de Bukavu,John Zyombo coordonnateur de cette structure des jeunes leaders déterminée «à faire taire la rumeur»,dans une déclaration, condamne toutes les agitations de ce groupe d’individus en mal de positionnement politique, qui trouble l’opinion de la population,en ternissant l’image du président du sénat.

Pour cette structure citoyenne,le professeur Bahati lukwebo reste le premier fils du Kivu ayant un parcours incontestable,notamment dans l’octroi de l’emploi à la jeunesse,

Et de préciser en outre que Théo Ngwabidje Kasi reste le seul et l’unique responsable de ses actes

«Parce que c’est l’heure de la vérité, il est vrai que monsieur Théo Ngwabidje avait été présenté par le regroupement politique AFDC A sur approbation de toutes les forces politiques issus à l’époque de l’alliance FCC-CACH. C’est ainsi qu’il fut voté par les députés provinciaux.Théo Ngwabidje reste le responsable politique de sa gestion et répondra seul de tous ses actes,que ça soit les accusations d’exploitation illicite des minerais à Mwenga ou une autre affaire»

Et d’ajouter

« Nulle part le nom du Sénateur Modeste Bahati Lukwebo n’a été cité dans le rapport de la commission de l’assemblée.Chacun devra répondre individuellement et politiquement ou encore administrativement de ses actes»

Pour rappel, il depuis un temps,des lettres et déclarations circulent dans les réseaux sociaux,dans lesquelles, certaines personnes accusereaient,le président du sénat, professeur,Bahati lukwebo et son parti AFDC A d’être à la base de la situation chaotique de la province du Sud-Kivu.

Avec Anne Marie kwinja, journaliste indépendante

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