Sud-Kivu/Tracasseries fiscales des médias : Le chef de division de la division provinciale de la communication réagit

« il existe des textes légaux qui régissent le fonctionnement des médias en RDC», c’est en ces mots que le chef de division provincial de la communication et médias, éclaire l’opinion dans un point de presse, tenu le weekend dernier, sur des tracasseries fiscales dont seraient victimes les médias du Sud-Kivu.

Napoléon Kisala, chef de division provincial de communication et médias du Sud-Kivu a tenu un point de presse pour éclairer l’opinion sur les tracasseries fiscales dont seraient victimes les médias du Sud-Kivu.

« Quand on parle de tracasseries fiscales, cela suppose que les actes qu’on appose aux assujettis sont des actes qui ne sont pas légaux, Pour le cas des médias du Sud-Kivu, il existe des textes légaux qui régissent le fonctionnement des médias en RDC»

Selon Napoléon Kisala, les organisations qui ont dénoncé ce qu’elles qualifient de tracasseries fiscales ne seraient pas compétentes et ignoreraient les textes régissant les médias.

Napoléon Kisala signale également que certains médias du Sud-Kivu fonctionneraient dans l’illégalité.

« Depuis la nuit de temps, tous les médias du Sud-Kivu fonctionnent dans l’illégalité et sous le mépris des textes qui les régissent. »

Et de signaler que le droit sur la déclaration préalable qui est le droit auquel est soumis chaque média et ce droit varie d’un média à l’autre.

« Pour les médias audiovisuels ce droit est fixé à 7500$ à caractère non commerciale, les médias à caractère commerciale,c’est 15.000$, les médias en ligne à 3 000$, les imprimerie à 2000$ ,les libraires à 500$ et les journaux à 1000$ »

En somme, ce dernier précise : « Le changement a soufflé dans cette division, le texte est notre seule arme, nous ne faisons que respecter les textes qui régissent les médias et notre hiérarchie au niveau national qui est le ministère de la communication et des médias»

Par la Rédaction

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